Il convient tout d’abord de vérifier s’il n’existe pas déjà une couverture d’assurance.
Il est recommandé aux salarié·e·s de courte durée dont les contrats de travail ne dépassent pas 3 mois de vérifier les points suivants :
- Existe-t-il une convention collective de travail (CCT) qui garantit le maintien du salaire en cas de maladie également pour les contrats de travail de moins de 3 mois ?
- L’employeur·euse a-t-il ou a-t-elle conclu une assurance collective qui garantit le maintien du salaire en cas de maladie également pour les contrats de travail de moins de 3 mois ?
- Le certificat de salaire comprend-il des déductions de primes pour une assurance d’indemnités journalières ?
- La personne en question est-elle affiliée à une association professionnelle qui assure ses membres ? En règle générale, les primes sont incluses dans la cotisation à l’association professionnelle.
Il est recommandé aux travailleur·euse·s indépendant·e·s de vérifier les points suivants :
- La personne en question est-elle affiliée à une association professionnelle qui assure ses membres ? En règle générale, les primes sont incluses dans la cotisation à l’association professionnelle.
Les personnes qui ne sont pas encore membres d’une association professionnelle peuvent postuler auprès d’une association professionnelle qui dispose d’un contrat d’assurance collective. Les primes d’une assurance collective sont nettement plus avantageuses que celles d’une assurance individuelle.
Si l’adhésion à une association professionnelle n’entre pas en ligne de compte, il est recommandé de comparer les offres d’assurances individuelles auprès de différentes compagnies d’assurance (caisses-maladie et autres prestataires).