Il convient tout d’abord de vérifier s’il n’existe pas déjà une couverture d’assurance.
- Le contrat de travail est-il régi par une convention collective de travail (CCT) et celle-ci prévoit-elle la conclusion d’une assurance d’indemnités journalières ? Si c’est le cas, les salarié·e·s sont déjà couvert·e·s par une assurance collective.
- L’employeur·euse a-t-il ou a-t-elle conclu une assurance collective pour ses salarié·e·s ? Si oui, les salarié·e·s sont déjà assuré·e·s par le biais de leur contrat de travail.
- L’assurance d’indemnités journalières est-elle mentionnée sur le certificat de salaire ? Si des déductions de primes y figurent, il existe une assurance. Mais il se peut aussi que l’employeur·euse prenne en charge la totalité des primes, auquel cas ces dernières ne figurent pas sur le certificat de salaire.
- La personne en question est-elle affiliée à une association professionnelle qui assure ses membres ? Si oui, il existe une assurance collective.